La Voix du Patriote Congolais

Congolaises et congolais de la diaspora, bonjour ou bonsoir Voici venu le temps de se ceindre les reins et refaire sa vie disait Aime Césaire. Le nouvel an est souvent une opportunité sinon une occasion idéale par laquelle chacun où qu’il se trouve devrait profiter de ces vacances de faire un tour intérieur pour aller jusque dans les confins de son être pour repenser sa vie et faire le bilan du parcours de l’année qui s’achève certainement sur une note pas très éclatante pour les uns et peut-être assez bonne pour les autres. C’est en principe un moment de partage et de joie qui ne laisse personne indifférente mais surtout une période, croyez-nous, de dépenses infortunées qui apportent déception, mésententes et discordes dans les foyers. Chers compatriotes, l’occasion nous est échu de vous rassurer que le voyage dont nous vous parlons par dessus tout est, une réflexion faite sur le cours de sa vie en un an qui se termine sur l’enjambement de l’autre qui commence. Souvent, ce momen...

Chers lecteurs du blog, Suite à notre dossier sur l'éducation, nous avons eu la chance d'interviewer l'un des doyens de notre communauté, à savoir le doyen Jacques Boubeka. Le doyen nous a fait honneur en se prêtant aux questions que nous voulions bien lui poser sur son expérience académique. Voici donc l'intégralité de son interview: La Voix du Patriote Congolais (VPC): Nous vous remercions de nous avoir accordé cette interview. Pouvez-vous vous présenter auprès de nos lecteurs? Jacques Boubeka (JB) : Mon nom est Jacques Boubeka, résident à Tucson, USA. Je suis Ingénieur-Hydraulicien, sortie de l'Ecole Nationale Polytechnique d’Alger (Algérie). J'ai aussi un  DESS en génie sanitaire, de l'Ecole Fédérale Polytechnique de Lausanne (SUISSE). VPC:  Que pensez-vous des études en général et, en particulier, aux États-Unis? JB:  Aux Etats-Unis, les études sont très faciles parce que tout est mis à votre dispositio...

(Pour la diaspora congolaise des États-Unis et d’ailleurs)         Beaucoup parmi nous dans la communauté se posent cette question; cependant, les décisions à prendre ne sont pas faciles. Il y a  ceux qui aimeraient bien repartir à l’école mais se posent milles et une questions quand à la faisabilité d’une telle démarche. Certains par contre, à cause du manque d’informations, ne savent pas où aller. Pour d’autres encore, ils ne se posent même pas la question.  Étant dans un pays Anglophone, ayant déjà du mal avec la langue anglaise dans la rue, ils ne voient même pas la possibilité de repartir à l’école car cela semble un défi insurmontable. Pour d’autres enfin, la question ne leur a même pas effleuré l’esprit car, par instinct de survie, il ne jure que par les “mabanga”. Repartir à l’école serait donc du temps perdu qui pourrait être investit ailleurs.             Pour toutes ces personnes...